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Le yogourt grec est bon pour notre santé, mais il l’est moins pour l’environnement. L’explosion de la demande pour ce produit à haute teneur en protéines comporte en effet son lot de défis. La fabrication du yogourt grec nécessite deux à trois fois plus de lait, ainsi qu’une plus grande consommation d’eau et d’énergie que le yogourt traditionnel.  Pour aider les transformateurs à mieux exploiter le lait et ses divers éléments, le professeur Yves Pouliot, du Département des sciences des aliments, travaille sur un outil d’aide à la décision dans le cadre de la Chaire de recherche industrielle CRSNG - Novalait en efficience des procédés de transformation du lait. Alain Doyen et Steve Labrie, aussi professeurs au Département des sciences des aliments, collaborent à ce projet.  Apprenez-en davantage dans cette capsule du Fonds de recherche du Québec